:

Comment fonctionnent les cibles mobiles ?

Anne Etienne
Anne Etienne
2025-07-18 17:24:30
Nombre de réponses : 12
0
Les mobiles sont des cibles parfaites pour les cybercriminels car ils sont utilisés pour communiquer et sont souvent reliés à des comptes hébergeant des données personnelles. Les pirates y voient ainsi une occasion pour hacker les données de tout un chacun. Les cybercriminels peuvent utiliser frauduleusement votre forfait mobile sans que vous ne vous en aperceviez grâce à la technique du phreaking. Le phishing ou hameçonnage est la technique la plus souvent utilisée par les cybercriminels pour attaquer les terminaux mobiles, et cela peut concerner votre courriel, votre mot de passe, vos identifiants bancaires. Les ransomwares sont également utilisés pour attaquer les mobiles en exploitant toutes les données sur le système et permettant au cybercriminel de demander une rançon. Les cybercriminels peuvent ainsi récupérer des informations confidentielles et commettre des fraudes. Ils s'attaquent aux terminaux mobiles car ils sont utilisés par de nombreuses personnes pour accéder à des informations sensibles. Les cyberattaques sur les mobiles sont souvent lancées à partir d'un simple mail ouvert imprudemment.
Suzanne Caron
Suzanne Caron
2025-07-10 20:11:55
Nombre de réponses : 11
0
Le signal de sortie du récepteur, qui contient les cibles et différents artefacts, passe dans le détecteur de phase pour en tirer les composantes I et Q qui seront traitées séparément. Par la suite, le traitement de visualisation des cibles mobiles applique un premier filtre pour éliminer ces artefacts mais il peut en demeurer une partie pour différentes raisons comme une instabilité dans le circuit électronique, une modulation du signal provenant de l’antenne, un problème d’étendue dynamique traitable ou la présence de vitesse radiale Doppler de certains échos parasites. Comme ils gardent certains artefacts, le détecteur filtre les données grâce à des seuils, ne laissant passer que les échos qui dépassent ceux-ci et donc élimine encore plus de faux échos, provenant du fouillis radar, à un taux de fausses alarmes constant. Le détecteur termine sont travail en assignant des coordonnées et caractéristiques d’intensité aux « vrais » échos obtenus. Cependant, plusieurs échos concomitants peuvent appartenir à la même cible. Le diagramme montre la position du détecteur dans la chaîne de traitement des échos radars. À la sortie de l’algorithme de CORDIC, la donnée analogue originale a été numérisée mais n’est encore classée que dans une suite continue de « cases », identifiée comme venant de l’azimut a et la distance X.
Madeleine Pelletier
Madeleine Pelletier
2025-07-10 16:59:25
Nombre de réponses : 11
0
Les cibles électroniques fonctionnent à l’aide de huit micros qui détectent l’onde de choc créée par le déplacement supersonique du boulet. La position de l’impact est triangulée et s’affiche sur votre tablette ou téléphone. Pour que le système fonctionne, le boulet doit avoir une vitesse supersonique, soit plus de 1100 pieds/seconde lors de son arrivée à la hauteur de la cible, afin que le système le capte correctement. Sinon, le coup n'est pas enregistré par le système. Les coups sont transmis par WI-FI de la cible au cellulaire iPhone/Android ou tablette. Le système ShotMarker fonctionne en mode coup par coup et qu’il n’y a pas de façon de faire la différence entre différents tireurs sur une même cible. Le système est donc utilisé avec le mode d’affichage du coup le plus récent. Avec un peu de pratique, vous réaliserez cette opération en un tour de main. Lorsque vous vous connectez au système, dans le coin en bas à gauche de l’écran, sélectionnez le numéro de cible qui correspond au numéro de la cible sur laquelle vous allez tirer. Au centre dans le haut de l’écran, le numéro du coup, le pointage correspondant au point d’impact et la vitesse du projectile à la cible sont affichés.
Amélie Renault
Amélie Renault
2025-07-10 16:43:35
Nombre de réponses : 7
0
ce qu'on a prévu de faire, c'est une corde tendue entre deux arbres sur une pente, à laquelle serait suspendue une cible par une ou deux poulies. à la cible, une autre petite corde serait attachée et reliée à un treuil simple via un coude PVC qui servirait à faire passer la corde sur le côté. ce qui permettra de remonter la cible depuis le pas de tir. on n'aurait alors plus qu'à lâcher la corde pour que la bête descende.