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Pourquoi fais-je un blocage ?

Noémi Fernandez
Noémi Fernandez
2025-07-12 15:15:22
Nombre de réponses: 12
Je fais un blocage parce que les blocages émotionnels proviennent pour la plupart de la petite enfance, voire même in utero, car le bébé est connecté en permanence avec ce que vit sa maman. La moindre situation émotionnellement difficile peut alors entraîner la création d’un blocage dans le cerveau. Et ce n’est pas la situation qui crée le blocage, mais comment celle-ci est vécu par l’enfant. Un blocage émotionnel est donc un conditionnement qui nous empêche de révéler notre vraie nature. Il existe différents types de blocages émotionnels, tels que le blocage d’abandon, le blocage de rejet, le blocage de non-reconnaissance, le blocage de dévalorisation, le blocage d’injustice, la culpabilité d’exister et la crainte d’être agressé. Chacun de ces blocages peut avoir des effets spécifiques sur notre vie, comme des difficultés dans les relations affectives, une peur de l’abandon, une recherche de reconnaissance, une dévalorisation de soi, une sensibilité à l’injustice, un sentiment de non-légitimité ou une peur de se faire agresser. Ces blocages émotionnels peuvent être libérés en douceur grâce à la psycho-bio-acupressure.
Charlotte Alexandre
Charlotte Alexandre
2025-07-12 14:49:54
Nombre de réponses: 9
Des blocages émotionnels surviennent suite à des expériences traumatisantes vécues dans l’enfance ou à des blessures émotionnelles non résolues. Les effets secondaires des émotions non traitées persistent. Ils affectent le bien-être général d’un individu. En l’empêchant d’atteindre ses objectifs et de se développer, les blocages nuisent à son épanouissement. Ces blocages s’appuient sur des peurs irrationnelles, des croyances limitantes et souvent un manque de confiance en soi. La peur de l’abandon constitue le premier des blocages émotionnels. L’individu se sent alors seul, même lorsqu’il est entouré de nombreuses personnes. La peur du rejet de l’autre induit quant à elle le fait de se sentir à l’écart. Certaines personnes affectées par ce blocage se mettent alors en avant. Elles prennent de la place sans que ce soit dans leur nature profonde. Les personnes qui ne savent pas dire non ont souvent un blocage de dévalorisation. Elles subissent une situation, parce qu’elles pensent inconsciemment ne pas mériter mieux. Elles portent sur elles-mêmes un regard particulièrement négatif, et ont des pensées limitantes comme « je suis nul ». Le blocage d’injustice concerne des personnes très sensibles à la justice. En montant souvent au créneau pour tenter de rendre justice, elles finissent par perdre leur sérénité et multiplient les conflits. Certaines personnes ont systématiquement peur de se faire agresser. Elles sont sur la défensive, prennent les choses personnellement. La culpabilité d’exister entraîne le souci de se faire oublier, de devenir transparent. Enfin, le blocage de non-reconnaissance peut survenir lorsqu’une personne a eu l’impression, durant son enfance, que l’on ne s’occupait pas suffisamment d’elle. Elle recherche alors la reconnaissance des autres, ce qui l’empêche d’agir par elle-même. Pour parvenir à dépasser ses blocages, il est essentiel de commencer par regarder ses peurs en face. Identifier ses blocages psychologiques représente donc la première étape. Plus vous apprendrez à les connaître et les comprendre, plus vous réussirez à tenir à distance vos peurs et les surmonter. Essayez donc de mettre des mots sur vos peurs, leur origine et leurs manifestations. Réfléchissez également à vos croyances limitantes. Il s’agit de pensées négatives et erronées que vous avez acquises au cours de votre vie. Ces pensées négatives possibles sont multiples : « je n’y arriverai jamais », « personne ne m’aime », « je ne mérite pas d’être là ». Listez-les. À chaque fois, prenez du recul. Demandez-vous objectivement si vos peurs et vos croyances limitantes sont fondées.