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Pourquoi crier au taekwondo ?

Victoire Torres
Victoire Torres
2025-04-29 14:05:03
Nombre de réponses: 2
Hurler comme on le fait, ça permet de montrer qu’on a la rage, qu'on est dans le combat. C’est un truc de guerrier, qui te permet aussi de taper plus fort. Crier, ça peut aussi influencer les arbitres. Ça permet de montrer qu’on a l’initiative. C’est une sorte de guerre psychologique.
Édith Delannoy
Édith Delannoy
2025-04-23 15:10:36
Nombre de réponses: 3
Personnellement, j’aime bien le faire car je trouve que c’est quelque chose qui marque l’adversaire. Ça permet de prendre un peu d’emprise, de montrer à son adversaire qu’on est vraiment déterminé. Parfois, quand on fait des feintes, on peut crier pour faire croire à l’adversaire qu’on va attaquer. Autrefois, le plastron n’était pas connecté, donc ça servait un peu à influencer les arbitres pour dire Voilà, j’ai mis un point. Aujourd’hui, le plastron est connecté mais personnellement, j’ai gardé le kiap car ça me permet aussi d’envoyer une certaine énergie et d’enlever le stress. Moi, ça me permet d’explorer ma force et de mettre de l’intensité, de l’agressivité dans mon combat. Normalement, c’est pour relâcher de l’énergie. Ça donne de la force et permet de se sentir vraiment dans le combat.
Henri Gimenez
Henri Gimenez
2025-04-16 15:59:07
Nombre de réponses: 5
Le cri de combat au taekwondo précède la compétition ou accompagne une technique. Avec lui, il s'agit de marquer la volonté d'une action ou de perturber la concentration de l'adversaire. Voilà pourquoi, il ne s'agit pas d'un cri de réaction spontanée, mais plutôt d'un cri profond et qui s'apparente le plus souvent à un souffle qui vient du ventre et non de la gorge. C'est à cet endroit que le taekwondoïste puise toute l'énergie pour centrer les techniques du taekwondo dans l'essence même de l'esprit de combat.
Nathalie Blot
Nathalie Blot
2025-04-05 00:01:48
Nombre de réponses: 4
Ils cherchent à influencer les arbitres ou à se motiver. Ça sert aussi à se motiver. C'est pour faire plus mal et déstabiliser l'adversaire.