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Quel type d’entraînement est le meilleur pour les combattants ?

Catherine Menard
Catherine Menard
2025-09-07 21:37:24
Nombre de réponses : 17
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Je crois que j'ai trouver un excellent moyen de bosser ses muscles en endurance et en force tout en étant profitable dans un art ou un sport de combat j'ai nommé les entrainement par circuit. Il faut faire environ 8 à 14 exercices et tu te limite a 30 sec par muscle et il faut faire le maximum de rep en 30 sec et tu ne te repose pas apres tu passe direct a lautre exo. Ca a l'avantage de ne pas concentrer la circulation sanguine a un seul endroit du corps et le sang circule dans tout le corps grâce a un entrainement par circuit et ne démonte pas la récupération musculaire pour pouvoir t'entrainer au fight quand tu veux. Le fait est que chaque exercice propose un groupe musculaire totalement different. 30 secondes pour une serie ca fait beaucoup je trouve. Si tu cherche la force je pense qu'il vaut mieux viser 10sec max. Je n'aime pas du tout les exercices de circuit après avoir fais 5 session. La qualité des exercices se dégrade totalement en essayant de le faire vite et risque de blessure quasi certaine au fil du temps. J'ai aussi tester pendant 1 semaine exercices a poids du corps unique jusqu'a l'echec, résultat pareil décevant dans le sens de la qualité musculaire et de la force. La masse pectoral a augmenté bien sur au détriment de la definition et du muscle dur au repos.
Lucy Seguin
Lucy Seguin
2025-09-04 09:47:22
Nombre de réponses : 13
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La course à pied fait partie des meilleurs sports pour les militaires et les forces de l'ordre. Une bonne condition cardiorespiratoire vous permettra de gagner de précieuses secondes au parcours du combattant. La corde à sauter peut être un excellent outil pour améliorer votre condition physique. Facile et économique, elle s'adresse à tous et cible une grande partie des muscles du corps. Exercice complet, la corde à sauter fait également travailler le système cardiovasculaire et améliore ainsi l'endurance. La musculation au poids du corps pour vous muscler, misez sur les exercices polyarticulaires au poids du corps. Ils vous rendront plus forts sans vous rendre plus lourds pour autant, ce qui est un avantage pour le parcours du combattant. Pas besoin d'un plan d'entraînement compliqué, les mouvements de base sont suffisants pour s'améliorer au parcours d'obstacles. Ces exercices devraient vous permettre d'améliorer vos capacités cardiovasculaires ainsi que votre endurance musculaire, deux éléments indispensables pour battre votre chronomètre au parcours du combattant.
Capucine Lebrun
Capucine Lebrun
2025-08-25 07:46:30
Nombre de réponses : 19
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La solution pour devenir performant à tous niveaux est d’adopter un training spécial MMA. Le MMA est aux sports de combat ce que le CrossFit ou le cross training est aux amateurs de musculation. Force, précision, endurance, explosivité, souplesse, vitesse et autres capacités physiques font partie des pré-requis de ce mix ultime d’arts martiaux. Le MMA associe des techniques de boxe thaïlandaise, de lutte, de judo, de jiu-jitsu brésilien, de boxe anglaise en un concept unique. Sans endurance cardio-vasculaire, pas de combat sur la durée. Condition sine qua non de bonnes performances, la pratique d’un effort capable de challenger le cœur peut porter sur des trainings de type boxe. Le bon type de préparation est des sessions de saut à la corde, du travail au sac de frappe et plus traditionnel, de la course à pied. Le tout, à mixer, pour plus de variité à des séries de burpees. Un training de type HIIT favorise une endurance musculaire maximale. Des séances de shadow boxing, pompes claquées et sautées ou jeter de medicine ball améliore la capacité à faire amener le combattant adverse au sol. Du côté des membres inférieurs, on améliore la fulgurance du coup de pied pendant le combat en ajoutant à son training des sauts et des mouvements de type drop jumps ou squats sautés. Les quadriceps, ischio-jambiers et fessiers jouent un rôle primordial dans les déplacements ou la capacité à soulever son adversaire. La bonne routine pour en développer la puissance est les entraînements à base de squats, fentes, chaises, soulevés de terre et les exercices de renforcement musculaire des lombaires. Notre force vient du centre du corps. A faire, des exercices de gainage statique et dynamique. Un dos souple décuple la capacité à asséner des coups de pied performants. Liée directement à la mobilité et à l’amplitude articulaire, la souplesse permet aussi de supporter certaines positions inconfortables durant le combat. Les bons concepts à adopter sont le yoga ou le stretching. Au-delà de la souplesse, ces deux disciplines favorisent en outre une meilleure maîtrise du souffle, de la capacité de concentration et de la gestion du stress.
Thierry Gaillard
Thierry Gaillard
2025-08-17 15:13:24
Nombre de réponses : 12
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Les combattants sont des athlètes qui doivent maîtriser plusieurs disciplines tel que: le Jiu-jitsu Brésilien, la lutte, le kickboxing, etc. Leur volume d’entrainement est donc très élevé. Pour cette raison, en tant qu’entraîneur, il faut s’assurer de ne pas contribuer au surentraînement de l’athlète, qui pourrait engendrer des blessures et du stress, par exemple. Les paramètres qui doivent être pris en considération lors de la planification d’exercices sont : Variation du rythme Capacités de récupération Types et méthodes d’entrainements Filières énergétiques : Filières anaérobies lactique et alactique Qualité aérobie seule. La majorité des préparateurs physique surentraînent les athlètes au lieu de viser l’augmentation des performances athlétiques de ceux-ci. Les combattants devraient être à leur meilleur lors de combats et non à l’entrainement. Par conséquent, il faut porter une attention particulière à leur récupération. Je favorise les exercices de puissance, sans nécessairement augmenter la masse -dépendamment de leur catégorie. La planification doit respecter les paramètres tel que : les besoins individuels de chaque athlète, la duré du combat, la catégorie (poids), les filières énergétiques, la biomécanique, le patron moteur et d’autres imprévus. Je me concentre sur la force de préhension et le gainage isométrique avec des tempos spécifiques. Je porte une attention particulière à la condition de l’épaule, surtout à la coiffe des rotateurs, car la surutilisation de cette structures peut engendrer des débalancements musculaires, un manque de mobilité et la rupture de celle-ci. Lorsque je travaille avec les athlètes féminines, je prends en considération que les femmes sont huit fois plus à risque que les hommes de déchirure ligamentaire croisé antérieur dans les sports équivalents. Je m’ajuste en conséquence pour prévenir les blessures. La priorité numéro un de chaque préparateur physique est de garder les athlètes en santé et d’éviter les blessures.