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Quelle est la vitesse idéale pour la marche nordique ?

Élisabeth Pires
Élisabeth Pires
2025-08-13 11:29:41
Nombre de réponses : 15
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La vitesse de pointe des marcheurs nordiques débutants est aux alentours de 4 à 5 km/h, un rythme plus ou moins équivalent à la marche traditionnelle. Selon les statistiques de la Fédération Française d’Athlétisme, les débutants marchent entre 4 et 5 km/h, les pratiquants réguliers autour des 6 km/h et les compétiteurs proche des 10 km/h. La marche nordique permet d’aller plus vite grâce aux bâtons qui boostent la propulsion, mais leur utilisation ne transformera pas immédiatement en un grand sportif. La bonne vitesse est celle qui vous convient. Inutile de vous comparer aux autres, l’essentiel reste de se faire plaisir et de profiter des bienfaits de la marche nordique, sans pression.
Gérard Perret
Gérard Perret
2025-08-02 14:03:49
Nombre de réponses : 14
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Pour certain ce sera 6km/h,7km/h, d'autres 7,5km/h ou 8 km/h. Et pour les + performants, on sera plutôt vers les 9km/h, 9,5km/h et au delà. La maîtrise d'un geste technique s'apprend à allure lente et modérée. Pour parfaire sa technique, il ne faut pas hésiter, durant quelques semaines, à aller moins vite. Un travail répétitif à allure modérée renforce la myéline. Répétition à allure lente et modérée pour travailler et améliorer la qualité. Répétition à allure rapide pour améliorer la vitesse d'exécution du haut du corps. Avant de penser Vitesse, privilégions d'abord la Qualité et le reste suivra avec l'entraînement.
Guy Becker
Guy Becker
2025-07-25 07:36:32
Nombre de réponses : 13
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D'après les recommandations des entraîneurs et fédérations sportives, la vitesse optimale en marche nordique se situe généralement entre 5 et 7 km/h. Cela représente une allure dynamique mais encore confortable, adaptée à une activité d’endurance. En dessous de 5 km/h, le mouvement perd de son efficacité et les bénéfices cardiovasculaires diminuent. Au-delà de 7 km/h, on entre dans une zone d’effort plus intense, qui peut être bénéfique pour l’entraînement, mais plus difficile à maintenir sur la durée pour les débutants ou les marcheurs loisir. Il est important de noter que cette fourchette de vitesse n’est pas figée. Elle dépend de nombreux facteurs : la condition physique du marcheur, l’objectif de la séance (loisir, remise en forme, performance), la nature du terrain (plat, vallonné, technique), mais aussi les conditions extérieures comme la météo ou l’altitude. Ainsi, un pratiquant entraîné pourra aisément maintenir une allure de 7 km/h sur terrain plat, tandis qu’en montagne, sur un sentier raide et caillouteux, cette même personne pourrait tomber à 4,5 km/h sans que l’effort soit moindre, bien au contraire. Plus que la vitesse brute, ce qui compte réellement, c’est l’intensité de l’effort perçue par le marcheur. Une bonne manière de le mesurer est d’utiliser la règle du « parler sans chanter » : si vous êtes capable de discuter avec un partenaire de marche sans être essoufflé, mais incapable de chanter sans perdre votre souffle, vous êtes probablement dans la bonne zone. Il s’agit de l’endurance fondamentale, une zone d’effort modéré correspondant à environ 60 à 75 % de la fréquence cardiaque maximale, idéale pour améliorer la capacité cardiovasculaire, brûler des graisses et développer l’endurance. Les sportifs équipés d’un cardiofréquencemètre peuvent s’appuyer sur cette donnée pour adapter leur rythme. Les autres peuvent simplement prêter attention à leurs sensations : essoufflement modéré, légère transpiration après quelques minutes, sensation de chaleur corporelle, mais sans surchauffe ni essoufflement excessif.