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Pourquoi je n'arrive pas à devenir souple ?

Sylvie Fischer
Sylvie Fischer
2025-05-26 21:58:00
Nombre de réponses: 6
Notre corps perd de sa souplesse avec l'âge, surtout si on abandonne l'activité physique au fil du temps. Le niveau de souplesse varie grandement d'une personne à l'autre, selon l'âge, la morphologie, l'hérédité et même le sexe. Nous n'avons pas tous des muscles et des tendons possédant la même flexibilité naturelle, nous héritons souvent notre souplesse de nos parents. Sans ce petit effort quotidien, le manque de souplesse peut s'installer et entraîner une mauvaise posture, des inconforts debout ou assis, une rigidité dans le cou ou le dos qui crée des maux de tête ou de dos plus fréquents. Le fait de travailler dans un bureau et d'être assis à longueur de journée n'aide évidemment pas, d'où l'importance de maintenir sa souplesse pour s'assurer de conserver une bonne posture. Il existe des exercices précis pour chacune des parties du corps, que vous trouverez en ligne, tous contribuent aussi, à leur façon, à oxygéner et à détendre votre corps, ce qui améliorera l'amplitude de vos mouvements. Progressez doucement, allez-y à votre rythme et selon votre condition physique, sachant que la constance plus que la force fait foi de tout. En vous entraînant régulièrement, vous développerez plus de mobilité articulaire, plus d'amplitude de mouvement, plus de souplesse.
Danielle Laroche
Danielle Laroche
2025-05-18 05:51:33
Nombre de réponses: 3
On ne devient pas souple du jour au lendemain. C'est un travail de longue haleine qui demande de la régularité et de l'entraînement. L’âge : en vieillissant, nous avons tendance à perdre en souplesse ; la taille et la structure de nos os : plus le diamètre de nos os est large, plus nous avons de chance de manquer de souplesse ; les tissus conjonctifs : le degré d’élasticité de nos tendons et de nos ligaments ; le volume du corps : plus notre corps est volumineux, plus il peut être difficile d’adopter des positions exigeant une certaine souplesse. Une déshydratation, même minime peut amoindrir la souplesse. Le stress est capable d'entraîner des contractions et des raideurs musculaires. La souplesse vient au fil des entraînements, et ne s'acquiert pas en deux ou trois séances.
Capucine Barbe
Capucine Barbe
2025-05-11 01:22:54
Nombre de réponses: 1
Travailler sa souplesse, c’est réduire le risque de nombreuses pathologies, ou mieux vivre avec. L'arthrose, les maux de dos, etc. mais pas seulement. C’est aussi - Améliorer la force musculaire en gagnant en amplitude de mouvement.- Amélioration de la récupération.- Réduction du risque de blessures.- Soulager les tensions articulaires et musculaires.- Gagner en souplesse et perdre en raideur. Commencer par 2 ou 3 exercices le matin, tous les jours ou un jour sur deux, vous allez sentir que votre corps est plus disposé à bouger, à affronter les gestes du quotidien, vous ressentirez aussi une plus grande facilité à respirer et ça, ce n'est pas négligeable !
Eugène Weber
Eugène Weber
2025-05-10 20:39:53
Nombre de réponses: 13
Alors lorsqu'on se sent "raide" et qu'on ne se trouve "pas souple" c'est en fait que l'on n'utilise pas les bons mots et très souvent on est en fait "stable" et "pas assez mobile". Souvent le problème ne réside pas dans la souplesse des tissus mais dans la coordination inter-segmentaire des contractions musculaires. Lors d'un manque de mobilité il arrive souvent que des muscles antagonistes au mouvement se contractent par un mauvais contrôle moteur du mouvement. Ils empêchent alors le mouvement de se poursuivre jusqu'à sa pleine amplitude et on est "bloqué". On provoque souvent ce genre de problème lorsque la gestion d'un équilibre plus ou moins précaire est demandé dans le mouvement : afin d'augmenter la stabilité du corps, on contracte tout, même les muscles qui empêchent le mouvement... et le pire c'est qu'on ne le maîtrise pas ! Parfois à l'inverse, se sont les muscles agonistes (qui aident au mouvement) qui vont être le frein à cause d'une inhibition qui va empêcher leur activation complète (ou leur activation tout court) et limiter le mouvement. Si c'est un problème de mobilité caractérisé par une incapacité de mouvements volontaires (se baisser en squat complet, talons qui touchent le sol) alors vous devez travailler votre mobilité.